Quand j’étais petit, j’avais le vertige en regardant les fourmis.
Je me disais que si j’étais une fourmi, j’aurais eu très peur de ces humains géants qui ne cessaient de leur marcher dessus.
Aujourd’hui, je me dis que si j’avais été un papillon, j’aurais volontiers élu domicile dans ces jolies fleurs sauvages, aux profils fantastiques.
Très bon ouikende à toutes et à tous, même s’il sera un peu plUUvieux…
Be cool, be open.
UU
« Quand j’étais petit », je n’étais pas grand
J’aimais les fourmis, c’était bien charmant…
Tiens, je me saisis la première de l’occaz’ de monter une collection de papillons pour ChoUUpi : vous connaissez le papillon-souci ?
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Et un papillon pour ChoUUpi, un!
Et plein de bisous qui volètent, dans les soucis ou sans…
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moi c’est les papillons dont je trouvais la vie trop courte après cette naissance miraculeuse
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Bonnes retrouvailles ce week-end! pas de betises! 😉
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J’aime bien ce billet poétique et qui va droit au but.
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