Dans les îles hautes, il est rare d’avoir des routes transverses qui permettent de les traverser de part en part en raison du relief accidenté hérité de l’activité encore récente [à l’échelle géologique, hein] des volcans qui les ont formées à l’orginie..
Au contraire, les routes qui les ceinturent sont généralement les seules voies réellement bien entretenues.
Ce qui n’empêche pas d’avoir des vues particulièrement spectaculaires au détour d’un virage sur ces mêmes routes, avec des échappées visuelles magnifiques vers l’intérieur des îles [pour une fois, vous échappez au bleu des lagons !].
Le paysage intérieur de Moorea est ainsi particulièrement agréable.
Parfois de nature agricole.
Parfois sauvage.
On a ainsi l’impression d’être sur une autre planète, tellement on est peu habitués à des paysages aussi déchiquetés.
Le soir venant, les reliefs se déchirent encore plus sous les rayons du soleil rasant.
Crépuscule du bout du monde.
Les marae présentent souvent des sites exceptionnels par leur majesté.
Grandeur du sacré oblige, ces lieux semblent véritablement habités par les esprits qui y sont honorés.
Mais ne peut pas y pénétrer qui veut.
Tapu, dit-on en polynésien.
D’où les Français ont tiré le mot « tabou » pour désigner ce qui est interdit.
Ayant pris comme base durant quelques jours la résidence des Tipaniers, nous nous levons tôt.
Comme les polynésiens.
Pour admirer la douce lumière du soleil levant sur une eau calme, à l’abri des vagues du Pacifique en deça de la barrière de corail de Moorea qui calme la houle.
Choupi a une perception de plus en plus aigüe de la beauté du monde, de ses couleurs.
La nature là-bas y a été pour beaucoup dans son éveil et la perception de ce qui était à portée de ses petites mains.
Le bonUUs du jour: UU sous l’eau… [au sens propre comme au sens figUUré ;o)]. En compagnie d’un baliste Picasso magnifiquement coloré.
Be cool, be open.
UU
Avec cette coiffure tu pourrais te reconvertir dans le punk rock (ou travailler avec les Tokio Hotel)
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s’éveiller à l’émerveillement dans ce cadre et en tenant une main, quelle belle façon de grandir
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Hummm le Baliste extra …
Tokio Hotel sous l’eau ça donne quoi ? Pas besoin de machine anti-jeunes dans ce cas je suppose ?
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Quel chance de grandir en ces lieus . Tu n’as pas honte de nous faire rêver devant ces paysages;-).
Il faudrait que je saute dans l’avion tout plaquer pour enfin voir la nature s’émerveiller de sa splendeur . Merci pour ce moment .
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Djamel>> Pourquoi revenir ? J’ai jamais vraiment quitté le punk rock… ;o) Cf. L’album [barré] de Grinderman en 2007.
Brig’>> Ouaip ! On essaie de lui donner nos quatre mains, pour qu’elle vole un jour de ses propres ailes.
Guess>> Ha ha. Toi, ça a l’air de te casser les oreilles, Tokio Hotel ! ;o) Tiens, dans un autre genre, on a assister à un récital de César Franck [musique sacrée du XIXème siècle], l’autre jour. Trop bien ! Je ne connaissais pas…
Bruno>> Non non, j’ai pas honte. ;o) Héhé. C’est la magie des blogs de vouloir tout faire plaquer aux uns et aux autres ! ;o)
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Bruno>> en même temps, choupi n’y a grandi…que pendant un mois !
J’aime ces lumières du matin
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